Comment le dirigeant peut-il intégrer les dimensions imaginaires de la marque alors même que sa fonction le conduit en permanence à mesurer les éléments clés de performances au travers de critères rationnels ?
Autrement dit, la marque est elle réductible comme le reste, à de simples KPI ou est-elle l’illustration ultime de leurs limites, quand il s’agit de parler de perception.
Là est le potentiel sujet de désaccord de fond entre les tenants d’un monde de l’entreprise réputé purement rationnel et les promoteurs d’une « raison sensible ».
Car la marque est bien cette catalysation de la sensibilité propre à la nature humaine, pour créer du désir.
Créer le désir est une belle entreprise
Donner à percevoir les attributs de la désirabilité, est aujourd’hui au moins aussi important et peut être plus que de contribuer à l’élaboration de l’ensemble des éléments qui entreront dans sa « fabrication ».
Pour le dirigeant il s’agit de quitter la posture de l’expert rationnel et objectif pour endosser celle plus inattendue, moins confortable et plus inductive de patron de la marque.
Aider les dirigeants à faire advenir leur vision de la marque, atout majeur de la compétitivité de l’entreprise, est l’une des missions que se fixent Les Ateliers Corporate
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