Dans la civilisation du care et de la démocratie participative on peut se poser légitimement la question de l’efficacité et donc de l’avenir du management traditionnel.
On peut d’autant plus se poser la question que, désormais, tout le monde s’accorde à reconnaître la mise en cause permanente de la hiérarchie et sa difficulté à développer l’engagement dans l’entreprise.
C’est que les nouvelles générations ont changé le monde. Désormais le bien être, la qualité de vie au travail, la confiance, la coopération sont devenus les préalables pour favoriser l’innovation et l’initiative.
L’empathie devient dans ce contexte un atout majeur du manager post-moderne confronté à la complexité des organisations, l’incertitude, le management transversal ou encore transgénérationnel.
La prise de conscience de la nécessité absolue de manager autrement implique alors de se reposer la question du consentement de chacun à s’engager. Voici venue l’ère du soft management.
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